jeudi 17 avril 2014

Sébastien Berlendis - L'autre pays

Éditeur : Stock - Date de parution : Avril 2014 - 71 pages et une déception...

J'aurais aimé pouvoir dire que j'ai aimé ce livre autant que le premier livre de cet auteur Une dernière fois la nuit. J'ai retrouvé avec plaisir cette écriture minimaliste qui décrit un voyage en Italie. La terre où vécut sa famille et  qui fut obligée de partir en France. L'exil et un voyage sans retour.

Sébastien Berlendis nous livre comme une carte postale de ce pays. Des descriptions avec une écriture très sensorielle : on hume les odeurs, on écoute cette langue chantante, on visualise les villes. On y retrouve également le thème de la maladie et les poumons rongés par le mal. Comme un peintre, l'auteur nous fait découvrir ce pays.
Alors oui, ce sont des touches poétiques mais trop fugaces, trop généralistes pour m'avoir permise de lire une histoire aboutie.
De ce voyage, je suis rester spectatrice sans ressentir d'émotion...

10 commentaires:

Noukette a dit…

Zut... J'avais tellement aimé le précédent que je me faisais une joie de le lire...

Jérôme a dit…

Je vais le lire, c'est sûr. J'espère que je serai plus touché que toi.

Manu a dit…

Je n'ai pas l'impression que ce soit pour moi.

gambadou a dit…

Alors je noterai le premier

Aifelle a dit…

Je ne crois pas que je serais captivée par ce tout petit roman.

Clara et les mots a dit…

@ Noukette : oui mais celui-ci n'est pas à la hauteur du premier..

@ Jérôme : oui, j'espère pour toi !

@ Manu @ Aifelle : et pour une fois, je dis trop court :) !

@ Gambadou : bien!!!!

keisha a dit…

J'arrive après la bataille (j'ai du mal actuellement, beaucoup à faire, genre balade à vélo, peinture, et un poil bouquiner)alors je me réjouis de pouvoir passer une lecture!

Violette a dit…

je note le premier livre de l'auteur, alors!

Clara et les mots a dit…

@ Keisha : il n'est pour toi c'est clair !

@ Violette : oui, son premier roman est à lire !

Marilyne a dit…

C'est ce que j'avais ressenti déjà avec la première lecture donc je n'y reviendrai pas, tant pis.