Éditeur : Gallmeister - Date de parution : Janvier 2012 - 342 pages et une immersion au cœur du Texas.
Texas, 1895. La femme de Vaclav Skala, fermier et propriétaire de cheveux, meurt en mettant au
monde leur quatrième fils Karel. Rongé par la douleur, il change d’attitude et
devient un homme dur. Les années passent et il transfère sa peine sur Karel en le délaissant.
Ses fils travaillent à la ferme et Vaclav agrandit toujours et encore son domaine en pariant sur des courses de
chevaux.
Lorsque Guillermo Villasenor s’installe près des terres de Vaclav Skala. il engage
un pari avec Vaclav. Pari qui va changer le cours de la famille de Vaclav Skala. L’enjeu est le mariage des
trois filles de Guillermo si ce dernier gagne. Karel qui monte un des chevaux perd une course
pour la première fois. Le jeune garçon est tombé amoureux de
son adversaire, une des filles de Guillermo. Ses frères se retrouvent mariés
et Karel s’éloigne des siens, coupe les ponts pour mener sa propre vie de
famille.
La narration sur trente ans nous fait vivre le tourbillon des émotions de cette famille écartelée: les remords, la haine mais aussi
les liens du sang.
Des sentiments tus, ensevelis sous la fierté et l’orgueil de ces hommes. Les femmes ne sont pas en reste et souffrent elles-aussi en silence. Comment trouver la paix et le pardon?
Si Bruce Machart nous mène dans un premier roman mené de main
de maître, ce livre n’emporte pas cependant entièrement mon adhésion. J’ai trouvé qu’il y avait trop de descriptions sur le travail à la ferme, les chevaux et
le deuxième point mais cette fois sur la forme. Il faut avoir une (très) bonne vue : la typologie est vraiment
petite…
Le billet de Keisha ( merci!) et plein d'autres dithyrambiques sur Babelio.
12 commentaires:
je vais le lire bientôt... je prépare mes lunettes ! ;-)
Je l'ai eu à prêter à Mimipinson qui a adoré. Je vais le lire la semaine prochaine, et j'ai été un peu rebutée par la petitesse des caractères aussi ! Mais les premières pages (curieuse que je suis) ont l'air alléchantes... Dis, euh... faudra corriger "cheveux" en "chevaux", au moins deux fois, parce que monter des cheveux c'est vraiment acrobatique... ;-)
Il m'attend .. c'est pour bientôt. J'espère ne pas trop peiner sur les petits caractères, c'est fatigant.
Rhhaaa, il vaut alors mieux que j'attende d'être passée chez l'ophtalmo vu que je sens que mes lunettes actuelles commencent à ne plus être très adaptées ! Inutile de me créer un mal de tête en lisant (j'y arrive déjà très bien sans rien faire de spécial ! mdr !)
Quoi? Moi qui ne connait rien aux chevaux, j'ai été emportée...Quant aux travaux de la ferme, ah bon?
Comme quoi déjà Le canyon nous séparait... Snif
Et les caractères ne sont pas comme d'habitude? Je n'ai rien remarqué...
Le mystère rode...
Comme Keisha, je n'ai pas été rebuté par les parties relatives aux canassons que je ne porte pourtant pas dans mon cœur (et alors que j'adore les chiens, tous les passages de dressage dans "Edgar Sawtelle" m'ont barbé. Comme quoi...)
Et toujours comme Keisha (quel infâme copieur !), je n'ai pas non plus remarqué que la police utilisée cette fois-ci était plus petite que d'habitude...
Tout ça pour dire que j'ai beaucoup aimé (presque sans réserve) ce roman (billet à venir prochainement).
@ Kathel : oui!
@ Anne : j'ai les yeux fatigués...:)
@ Aifelle, Joëlle ça m'a gênée...
@ Keisha : arghhhh, la rupture est consommée! Je pense que la typologie est propre à cet éditeur que je lis...assez peu.
@ ICB : je suis à un peu à contre-courant des avis tous dithyrambiques, oui! Certains passages m'ont lassée, j'avoue...
ce fut un coup de coeur pour moi !
Sans plus...
de coup de coeur en "sans plus", qui croire ? Il va falloir que je me fasse ma propre opinion alors ! c'est alléchant tout ça !
Je viens de le finir, j'ai aimé mais comme toi la typologie a gaché mon plaisir car ça m'a fatigué mes yeux de myope !
@ Krol @ Hérisson @ Gambadou : je suis la seule à avoir un avis nuancé!
@ Louisa : voilà, nos yeux de taupe ne sont pas habitués à cette typologie )!
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