Éditeur : Stock - Date de parution : Mai 2012 - 212 pages et une déception...
A Buenos Aire, Tino âgé
de onze ne ne se déplace jamais sans Tino Bruno, le garde du corps de son père. Pour tous les autres membres
de la famille Razzani, il est en de même. Son père est un homme d’affaires très
riche et très puissant en Argentine mais il est trempé dans de sales affaires.
Condamné par la justice, il
fait bientôt la une des journaux.
On est très loin des quartiers pauvres de Buenos Aire et de
la misère, Razznni est un homme parti de rien mais qui a réussi. A la tête de plusieurs
sociétés, il est accusé de détournement et de blanchiment d’argent. Pour Razzani,
seule sa famille compte : sa femme et ses trois enfants dont Tino. Très
vite, la vie menée par la famille bascule. Razzani s’est enfui pour se cacher de
la police dans l’une de des ombreuses propriétés, sa femme et ses enfants
restent cloîtrés dans leur belle maison des quartiers chics car les journalistes
guettent tous leurs faits et gestes. A partir de ce moment, la famille perd peu
à peu pied. Seul Tino qui voyait en son père une forme de héros commence à
douter a du mal à croire les rumeurs concernant son père. Jusqu’au jour le cadavre
de Razzani est retrouvé. Est-ce vraiment lui ou alors est-ce une ruse de
plus?
Si j'ai lu ce livre sans déplaisir, j'ai trouvé cette histoire vraiment trop classique et sans surprise par les thèmes : l'argent sale, le pouvoir. Et, je n'ai pas ressenti d'émotions à cette lecture. Dommage.
11 commentaires:
Rien à dire sauf qu'il semble que mon commentaire sur le billet précédent n'est pas passé? Pfff on m'en veut! ^_^
Je disais qu'à ma maman j'offrais des livres...
@ Keisha : non ça a buggé ( une fois de plus)!
Effectivement, ton résumé ne me motive pas plus que ça... Ce qui m'arrange! ;-)
Je n'ai pas entendu parler de ce roman .. je passe.
J'espère lire bientôt son précédent roman traduit en français, dans ma PAL depuis l'an passé...
Ca ne me dit rien du tout et pour une fois que je n'ai rien à) noter en sortant d'ici, que du bonheur ! :)
Ce n'est pas un thème qui m'attire vraiment... je passe avec joie.
Dommage, j'aimais bien le titre.
Le Papou
J'aime autant lire ton anecdote sur la cliente lubrique de la librairie brestoise Dialogues. Pourquoi lorsque je déboule chez eux, chaque mois d'août, je n'entends une histoire pareille : hein, pourquoi ? bises et mille mercis pour cette tranche de rigolade. Sinon, pour le livre chroniqué, je passe mon tour.
Un de moins à rajouter sur ma liste, c'est déjà ça de gagné^^
@ Gwen : oui, rien de passionnant , et une sensation de déjà lu...
@ Aifelle : le résumé était pourtant bien alléchant!!
@ Ys : peut-être qu'il sera meilleur !
@ Asphodèle : heureuse, Miss!
@ Karine :): tu peux...
@ Le Papou : moi aussi!
@ Philisine : donc on se voit en aout à Brest ?!!!! J'observe, j'écoute beaucoup les gens dans le bus ou dans la rue ou tout simplement dans les commerces!Et il y a souvent des perles!!!
@ Jérôme: oui, positivons!!!!
Enregistrer un commentaire