Avertissement : je reprends ma devise désormais célèbre : " à quoi bon faire des tartines quand je n'ai pas aimé ?"
A Tokyo, Pascal Klein, propriétaire d'une galerie d'art, voit enfin peut-être poindre le fin de sa quête. Celle d’un tableau de Chagall ayant appartenu à ses grands-parents. Fils d’un peintre, il s’agit d’un homme passionné par l’Art et son évolution mais aussi tourmenté.
A Tokyo, Pascal Klein, propriétaire d'une galerie d'art, voit enfin peut-être poindre le fin de sa quête. Celle d’un tableau de Chagall ayant appartenu à ses grands-parents. Fils d’un peintre, il s’agit d’un homme passionné par l’Art et son évolution mais aussi tourmenté.
Un résumé sommaire pour un livre qui m'a laissée dubitative… Et ce pour plusieurs raisons. J’ai eu du mal à rentrer dans ce livre où j’ai trouvé que l’auteur en faisait trop au niveau de l’écriture. Un style allant même jusqu'à être"pompeux" à mon goût. Puis, je me suis emmêlée dans les fils qui au lieu de se montrer conducteurs pour moi ont été source de grands moments de solitude ( et oui!). Je n’ai pas compris toutes les réflexions de ce galeriste sur l’évolution de l’Art ou ses questions existentielles (que ceux ou celles veulent crier à l’inculture le fassent, j’ai prévu un bouclier !). La trame principale mène Pascal Klein à Tokyo à la recherche d’un tableau. Pas un tableau connu du public mais une toile du célèbre peintre Chagall. Le tableau se trouvait accroché dans la chambre d’enfant de son père. Après la Seconde Guerre Mondiale, il n’y a plus aucune trace du tableau. A ce récit s’ajoute l’histoire de Ferdinand de Sastres. L’homme, un collectionneur excentrique, possédait une multitude d’œuvres d’art toutes enfermées dans des caisses. Chaque semaine, sa vaste demeure voyait voyait son lot de visiteurs. Ferdinand de Sastres leur décrivait avec ferveur les joyaux qu’il possédait bien que le doute planait sur leur existence. Cette histoire dans l’histoire m’a intéressée mais il était trop tard…
Je suis complètement passée à côté de ce roman dont nous avons fait avec Mango une lecture commune. Pourtant, j'avais apprécié de cet auteur le précédent roman Le réprouvé.
Mon avis se rapproche de celui de d'Aifelle et de Valérie. Cynthia, Daniel Fattore et Yv ont aimé.
Mon avis se rapproche de celui de d'Aifelle et de Valérie. Cynthia, Daniel Fattore et Yv ont aimé.
16 commentaires:
Je me sens moins seule .. je suis passée aussi complètement à côté, surtout à cause de la narration trop embrouillée à mon goût. Tout comme toi, j'avais aimé "le réprouvé".
Le réprouvé m'avait plu, mais sans enthousiasme, alors pour Les successions j'ai refusé l'offre...Manque de temps en plus, alors je n'y vais qu'à coup sûr en général!
Je vais peut-être réussir à publier mon billet dans la journée finalement. Je n'avais pas beaucoup aimé "Le réprouvé" pour ma part mais le thème de celui-ci me plaît bien davantage. Cependant que le début m'a semblé long et déroutant! Le meilleur qui vient après est vraiment bien caché.
Est-ce moi qui m'imagine ça ou bien y a-t-il bien une recrudescence des livres parlant de l'art ou se passant dans ce milieu ? Bon, celui-ci ne me tente pas vraiment !
J'ai moins aimé celui-ci que "Le Réprouvé" principalement à cause du thème car l'écriture, elle, reste magnifique.
Dommage que tu n'aies pas accroché mais on ne peut pas tout aimer ;)
je commence bien la semaine grâce à toi: un livre à ne PAS noter!! :)) bonne semaine Clara!
Moi non plus je ne peux pas dire que ce livre m'a passionné, mais bon je ne regrette pas de l'avoir lu, chacun son opinion après tout :-)
Pour une fois, je n'ai rien à noter, et cela m'arrangerait plutôt... ;-)
Nous voilà de plus en plus nombreuses dans le camp des déçues.
Moi, j'ai carrément abandonné, alors que j'avais aimé le réprouvé.
Pour une fois que tu n'aimes pas, je le note ! Mais je n'aurais pas été vers ce livre spontanément de toute façon !
@ Aifelle : je me suis empêtrée dans ces multiples narration sans compter les questions métaphysiques!
@ Keisha : j'aime vivre dangereusement :) !
@ Mango : la fin est forte ( belle et cruelle) ,je l'accore mais elle elle ne répond à tout ce qui été soulevé dans le livre. Il aurait mieux valu que l'auteur s'en tienne à quelques thèmes plutôt que de de vouloir en traiter beaucoup (la filiation, devenir à son tour pères, la spoliation des biens Juifs durant la seconde guerre mondiale.
@ Joëlle : non, tu ne rêves pas ! je trouvé également qu'il y en a de plus en plus!
@ Cynthia : pour l'écriture est trop enrichie, trop travaillée
et perd de son naturel...Dommage!
@ Choupynette : bon, désorrmis le lundis je parlerai de livres que je n'ai pas aimés:)!
@ Patrice : je vais allez lire ton avis.
@ Kathel : c'est typiquement le genre de livres soit ça passe soit ça casse...
@ Valérie : j'ai même hésiter à rédiger un billet car dans ta chronique tu exprimais exactement ce que je pensais!
@ Sylire : oui, il me semblait bien mais j'avais un doute...
@ Asphodèle : tiens , c'est marrant!
Les ressentis sont vraiment très différents sur ce livre.
Ah ben oui, mets ton bouclier, inculte que tu es ! Comment n'as tu pas pu être sensible à cette écriture et à ces propos sur l'art ? Bon, en fait, j'en rajoute un peu, je l'ai passé à mon ami peintre dont je parle dans mon billet qui n'a pas aimé non plus ; c'est vrai que c'est un roman particulier qu'on peut ne pas aimer, comme tous les autres d'ailleurs !
@ Alex : très !
@ Yv : oui et je l'assume:)! C'est intéressant, tu vois ton ami peintre n'a pas aimé...
Ce qui ne démontre rien en soi :)!
Comme tous les bretons ne sont pas forcément alcooliques ou n'aiment pas le far.
Yv, je m'enfonce alors j'arrête là, il vaut mieux!
Je ne sais plus quoi penser. Les avis sont vraiment divergeants. Il me semble que c 'est le genre de livre qui ne laisse pas indifférent, soit on adore, soit on déteste...
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